Aujourd’hui, c’est vendredi 13 et la date symbolique est peut-être l’excuse idéale pour regarder un film d’horreur, n’est-ce pas ? Dans cette optique, nous avons préparé une liste thématique, mais l’intention ici n’est pas exactement de faire peur. Au contraire, vous le trouverez très probablement drôle avec les dix pires méchants, grossiers, bizarres et inhabituels du cinéma d’horreur. Alors oubliez Jason Voorhees et profitez-en !
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Biscuit au pain d’épice (« The Killer Biscuit »)
Le film a eu deux suites et a également remporté des séries comiques. Crédit : Talos Entertainment/Disclosure
La recette avait tout à mal tourner, et c’était le cas. Du mélange des cendres d’un tueur en série avec des épices dans une pâte à biscuits, vient le monstre qui terrifie « The Killer Biscuit » (2005). Pour défendre les boulangers qui ont préparé la pâte, ils n’étaient pas au courant de l’ingrédient macabre présent dans le mélange utilisé. Par coïncidence, un biscuit au pain d’épice typique est préparé sous forme humaine, mais un peu plus grand. Et après la torréfaction, une autre coïncidence, le biscuit reçoit une décharge électrique qui lui donne vie. Et bien, le reste que vous pouvez imaginer.
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Jeans (‘Slaxx’)
Cas extrême de ce que l’on peut considérer comme une tenue qui ne va pas bien. « Slaxx » (2020) est le représentant typique des films d’horreur avec des objets qui prennent vie et commencent à prendre vie. Dans ce cas, un jean possédé qui commence à chasser et à tuer les employés d’une entreprise de mode pour punir les pratiques inappropriées employées par l’entreprise. Peut-être que le tribunal du travail pourrait résoudre le problème, mais l’idée d’un jean vengeux est beaucoup plus attrayante.
Préservatif (« Le Condor Assassinat »)
Le film est basé sur une bande dessinée de l’Allemand Ralf König. Crédit : MBG/Disclosure
Il pourrait s’agir d’un film poubelle basé sur une prémisse de stapafurdy, mais « The Assassination Condom » (1996) est aussi un récit considérablement progressiste, avec un protagoniste gay, quelque chose de rare à ce jour. L’inspecteur de police Luigi Mackeroni (Udo Samel), lors d’une nuit de plaisir avec Miché Billy (Marc Richter) est attaqué par un préservatif denté qui dévore une partie de ses organes génitaux. La créature est en fait une expérience réalisée par un scientifique homophobe qui crée des préservatifs mutants pour mutiler les gays.
Lapin de Pâques (‘Bunnyman’)
Long s’inspire légèrement de la légende urbaine américaine. Crédit : Productions/divulgation de l’ANOC
Ok, le méchant n’est pas littéralement le lapin de Pâques, mais un tueur en série qui décide de s’habiller comme tel pour commettre ses crimes. « Bunnyman » (2011) devrait aller à la poubelle, mais essaie de suivre (et d’échouer) la ligne de films comme « The Massacre da Serra » ont un budget bas et de mauvaises performances. Grace, dans ce cas, vient involontairement.
Fourmis géantes (« Le monde en danger »)
Véritable classique, même nominé pour l’Oscar des effets spéciaux, ‘The World in Danger’ (1954) est également un pionnier, étant considéré comme le premier long métrage à amener des insectes géants. Ici, la terreur et la science-fiction vont de pair dans une histoire qui menace les fourmis géantes modifiées par les radiations. Amusant et visuellement audacieux, il apporte également en prime la présence d’un jeune Leonard Nimoy, l’éternel Spock (1931-2015).
Réfrigérateur (‘The Devilish Fridge’)
Non seulement le réfrigérateur est capable de tuer, mais il est également une porte d’entrée vers l’enfer. Crédit : Avenue D Films/Disclosure
Ceux qui ont traversé la situation d’un réfrigérateur défectueux connaissent le désagrément qu’il soit laissé sans comment conserver correctement les aliments. Cependant, le problème de l’appareil électroménager en question n’est pas lié à des pannes de refroidissement ou à quoi que ce soit de ce genre. « The Diabolica Refrigerator » (1991) du titre, en passant, n’est pas simplement un appareil aux tendances homicides, mais aussi une sorte de portail vers l’enfer. Il est difficile de résister à un tel complot.
Gobelins (« Troll 2 »)
Dans l’univers fantastique, les gobelins représentent peut-être même des créatures à craindre, mais on ne peut pas prendre leur présence au sérieux dans « Troll 2 » (1992). En fait, rien ne peut (ou ne devrait) être pris au sérieux dans cette suite, qui est encore plus précaire que le film original. Le film est livré avec la famille Waits, qui arrive dans une petite ville habitée par des gobelins psychotiques. Pour ceux qui apprécient la toux et l’absurde, c’est un plat complet.
Alien Clowns (« Clowns de l’espace latéralgique tueur »)
Le tueur en série John Wayne Gacy (1942-1994), qui s’est habillé en clown pour attirer les victimes, a grandement contribué à rendre les personnages emblématiques du cirque effrayants pour beaucoup de gens. C’est de lui que vient l’inspiration de « It » de Stephen King, adapté aux théâtres. Les méchants de ‘Killer Clowns of Sidereal Space (1988) sont moins effrayants, qui apparaissent à l’endroit où un objet lumineux est tombé hors de l’espace. Une perle poubelle.
Pneu (« Rubber : the Killer Tyre »)
L’histoire abuse du ridicule pour critiquer les excès du cinéma. Crédit : Films/Divulgation du réalisme
Les réalisateurs de « Rubber : the Killer Tyre » (2010) sont parfaitement conscients du ridicule d’avoir comme monstre du film un pneu télépathique tueur en série qui décide de tourmenter les autoroutes. Pour compléter le scénario plein de bizarreries, le pneu est obsédé par une fille. Nan genre.
Tomates (« L’attaque à la tomate Assassin »)
Succès du genre, « The Assassination Tomato Attacks » a eu des suites au cinéma et même dans une série animée. Crédit : Four Square Productions/Divulgation
Un autre chef-d’œuvre de ce huard, « The Assassin Tomato Attack » (1978) fait référence à « The Birds » de Hitchcock, le « requin », de Spielberg et d’autres classiques de l’horreur. La différence ici est qu’il est impossible de craindre les tomates brutales et implacables qui décident de terroriser l’humanité. Il a tellement bien fonctionné qu’il a généré les continuations « The Return of the Assassin Tomates » (1988), « Run Tomatoes Come Tome Tome Tome » (1990), « The Assassin Tomatoes Eat France » (1991).
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